Écrit par Fédération de Parkour
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Lundi, 03 Mars 2014 08:01 |
Comment gérer l'image du parkour dans les médias ?
Vous êtes sûrement déjà tombé sur un article de presse qui narre un de ces nombreux faits divers autour du "yamakasi". Oui, "le yamakasi", cette activité dangereuse, de casse-cou, qui consiste à "escalader des immeubles et effectuer des sauts vertigineux".

Article Ouest France du 13 Janvier 2014 (Lien)
Il s'agit bien entendu d'une mauvaise connaissance du Parkour qui pousse le journaliste à effectuer des raccourcis aussi "vertigineux". Que cela nous fasse sourire ou nous exaspère, on ne peut bien souvent blâmer le journaliste qui est le reflet de l'image générale du parkour répandue auprès du grand public. Un message explicatif courtois au journaliste et vous pouvez rétablir le tir, à l'image de Thomas Le-Groignec, membre de l'association Arts In Motion et du comité directeur de la FPK. Il s'agit là de rectification d'un article, mais aussi et surtout de prévention, car les journalistes sont souvent à l'origine de bien des idées reçues.

Article Ouest France du 17 janvier 2014 (lien)
C'est un travail de longue haleine auquel s'attellent sans relâche les personnes qui s'investissent pour défendre une image saine du Parkour.
Mais l'image du parkour n'est pas uniquement entre les mains de celui qui est face à la caméra, mais bien notre responsabilité à tous, médiatisé ou non. Soyez vigilant lorsque vous parlez du parkour comme lorsque vous pratiquez : un traceur souriant et aimable, qui prend soin de son corps et cultive son esprit, rayonne de bons sentiments. Il suffit d'un seul accident ou fait-divers pour faire écrouler l'image que la majorité des pratiquants essaye de défendre depuis des années. Souvenez-vous bien : un arbre qui tombe fait plus de bruit qu'une forêt qui pousse.
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Mise à jour le Lundi, 03 Mars 2014 08:12 |