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Label entreprise FPK
Écrit par Fédération de Parkour   
Mercredi, 02 Novembre 2016 20:25

LABEL ENTREPRISE FPK

 

 

 

Le label entreprise FPK est enfin disponible ! Si vous êtes intéressés par l'obtention du label pour votre entreprise ou auto-entreprise, n'hésitez pas à contacter la FPK !

Plus d'informations sur la page dédiée au label :

http://www.fedeparkour.fr/label-entreprise-fpk


Le label ne concerne aujourd'hui que les structures d'encadrement sportif mais restez connectés, une version adaptée pour les structures de spectacle et de vente sera prochainement proposée !

 
Formation FPK 2017: ouverture des inscriptions !
Écrit par Fédération de Parkour   
Mardi, 25 Octobre 2016 21:57

Les inscriptions pour la formation FPK 2017 viennent d'ouvrir !

 

elle aura lieu du 20 au 24 février 2017, au CREPS de Dijon.

La FPK met en place sa formation fédérale depuis 4 ans déjà. Il s'agit sur une semaine d'appréhender tous les aspects de l'encadrement en Parkour, d'apprendre des bases de pédagogie, didactique, etc. spécifiques à cette activité.

Attention, il s'agit plus d'apprendre et d'échanger autour de l'encadrement en parkour, que d'obtenir juste un papier ! Si vous avez des questions n'hésitez pas à contacter la fédération.

 

PLUS D'INFORMATION SUR LA PAGE "FORMATION" (onglet "formation")

Mise à jour le Mardi, 25 Octobre 2016 22:00
 
« Breaking the Jump » : une histoire du Parkour
Écrit par Sacha Lemaire   
Vendredi, 30 Septembre 2016 11:59

Breaking the Jump

Connaissez-vous Julie Angel ? Julie a passé 12 ans à interviewer de nombreuses personnes impliquées de près ou de loin dans l’origine du Parkour, de l’Art du Déplacement et du Freerun. Un gros boulot de recherche à Evry, à Paris, à Lisses, mais aussi à travers le monde. Son livre « Breaking the Jump », a été largement diffusé dans les communautés anglophones du Parkour depuis sa sortie cet été. Plusieurs membres du comité directeur de la Fédé l'ont lu. Nous estimons que c'est un ouvrage intéressant pour tous ceux qui s'intéressent aux origines de la pratique... et qui parlent anglais.
A ajouter donc à votre liste de lecture spécial Parkour (plus d'ouvrages plus bas).

Des livres sur le Parkour, il y en a plein. L'originalité de "Breaking the Jump" tient du fait qu'il propose de rassembler les différents récits des origines tels qu'ils ont été vécus par les fondateurs et leurs élèves. Les points de vue cités sont personnels et donc forcément partiaux. Libre au lecteur de se faire sa propre idée. On y parle d’entrainement, d’esprit, d’histoire de famille (un peu) et d’amitié (surtout). Et aussi de Dragon Ball Z  ;-)

Lisez-le, empruntez-le, partagez-le et faites-vous votre propre idée.
Un vrai livre avec de vrais pages à tourner, ça change des vidéos youtube et ça marche même quand il n'y a pas de wifi ! 

- Le livre Breaking the Jump
- Le site web du livre avec plein de vidéos 
- Le projet "See&Do" de Julie pour développer le Parkour Féminin


Envie d'aller plus loin ?
Voici une autre liste d’ouvrages de référence recommandés par la FPK : 

* Parkour par David Belle
* Parkour des origines à la pratique par David Belle et Charles Perriere
* Freerunning : find your way par Sébastien Foucan 
* L'art du déplacement (Force Dignité Partage) par Vincent Thibaut
* Ciné parkour par Julie Angel
* The Parkour and freerunning handbook par Dan Edwards
* Parkour strength training par Ryan Ford

Mise à jour le Lundi, 03 Octobre 2016 09:36
 
Week End FPK 2016 - Bilan
Écrit par Fédération de Parkour   
Vendredi, 01 Juillet 2016 12:41

 

Le 23-24 avril 2016 a eu lieu le rassemblement annuel de la Fédération de Parkour plus connu sous le nom de Week End FPK.

Cette année, Roubaix était la ville hôte avec comme organisateur l’association Parkour 59, l’un des piliers de la fédération.

Au programme : 2 jours pour découvrir, pratiquer et s'initier au Parkour dans les lieux emblématiques de Lille et Roubaix ainsi que des initiations grand public, des démonstrations, des workshops dirigés par des coachs et des tables rondes associatives. Ouvert au grand public, l'événement a accueilli 700 participants de toute la France.

Accès direct : La vidéo - Les photos - Les coachs - les structures - Quelques chiffres - Tables rondes - Revue de presse - Mot de la fin
Tables rondes : Parkour Parks - Parkour au féminin - Evolution du Parkour - Parkour et préparation physique - Parkour et prévention des blessures - Parkour et Emploi - Parkour et Handicap - Echange avec l'ADD

 

LA VIDEO OFFICIELLE



LES PHOTOS

Voir l’album Week End FPK 2016 sur Facebook

 

LES COACHS

L’événement 2016 a été placé sous le signe de l’ouverture. Pour la première fois, les participants ont pu rencontrer, dialoguer et s’entraîner avec des coachs externes à la Fédération. Ainsi nous sommes heureux d’avoir pu accueillir l’ADD Paris, Evry et Bordeaux, ParkourOne, la French Freerun Family, Parkour Paris, ainsi que l’Ecole de Parkour de Lyon, Philip (Germany) et Ludovic (session barefoot). Merci à eux.

 

LES STRUCTURES

Structures Fam Jam au Week End FPK

La FPK a accueilli un partenaire de choix avec l’équipe FAM München qui nous a installé les modules de la FAM JAM, événement Parkour très célèbre en Allemagne. Les participants ont ainsi pu tester des modules robustes et bien pensés, des barres, une piste de tumbling et des trampolines géants. Le tout a été complété par les modules de Parkour59, construits par Wilfried. Pour les plus jeunes, une structure gonflable a été montée à l’extérieur.

 

LES CHIFFRES

  • 700 participants
    (dont 300 hors fédération)
  • 35 associations
  • 36 bénévoles
  • 22 coachs invités
  • 7 tables rondes
  • 150 repas végétariens
  • 1500 bananes :-)

 

 

RESUME DES TABLES RONDES

7 tables rondes ont eu lieu lors du week-end. Le principe était le suivant : un participant lance un sujet qui lui tient à coeur et la salle est invitée à réagir, témoigner de son expérience, enrichir le débat, trouver ensemble des solutions. Les propos notés dans les résumés suivants n'engagent que les participants. Ils n'ont aucune valeur légale et ne doivent pas être considérés comme représentatifs de l'avis de la Fédération. Ceci étant dit, c'était drôlement chouette d'avoir autant de monde avec qui partager :-)


:: SAM 13H : Les Parkour Parks ::

Animateur : Steve Colling, directeur général LAPPSET France
Associations présentes : Poitiers Parkour, Parkour La Rochelle, Pink Parkour, PK Stras

Propos recueillis lors la table ronde :

Préambule : En avril 2016, Poitiers a vu s’ouvrir le premier Parkour Park outdoor de France construit par Lappset. Projet réalisé grâce à une collaboration Poitiers Parkour / ville de Poitiers. Le lieu d’entrainement est inséré dans la politique sportive de la ville. Des initiations sont organisées en collaboration avec les Maisons de quartier. La Région propose des tickets jeunes.

Que pensez-vous de la pratique en salle ? :

  • La pratique en salle est jugée comme intéressante, du point de vue pédagogique. Et il semble qu’il y ait un vrai besoin de salles constaté au niveau national. La France accuse d’ailleurs un retard par rapport aux autres pays (Danemark, Allemagne, Royaume-Uni,...).
  • Une des associations a accès à une salle de gym. Avant d’y accéder, les débutants doivent obligatoirement suivre des trainings extérieurs d’abord. Cela a permis de constituer un noyau dur de traceurs systématiquement dehors. Mais la salle reste un élément important pour déclencher les inscriptions.
  • Une autre association a décidé de réserver les entraînements intérieurs au coaching freerun et donner un statut de "récompense" aux entraînements extérieurs. Mais cela nécessite de sensibiliser les débutants aux valeurs et règles du dehors : respect de soi, des autres, importance de la "légalité" (espaces publics/privés, etc...), la sécurité,...

Les intérêts du Parkour Park Outdoor :

  • Possibilité de s'entraîner dans un lieu dédié et sécurisé, avec des éléments adaptés.
  • Démocratiser la pratique auprès du grand public en l’ancrant au sein de la collectivité
  • Un Parkour Park externe est moins contraignant qu'un gymnase : pas de gardiennage, pas d'entretien, pas d'électricité, ...
  • Un Parkour Park externe est moins cher à construire qu’une salle
  • Les créneaux en salle de gym sont difficiles à obtenir
  • La France a du retard face à ses voisins : plusieurs Parkour parks extérieurs ont été construits ces 2 dernières années en Allemagne.
  • L'usage du parc peut aussi être couplé à d'autres disciplines voisines : escalade, street workout, méthode naturelle, ...

 

Un projet de Parkour Park dans ma ville ?

  • Un projet de Parkour Park couplé à des disciplines voisines est une proposition qui peut intéresser des élus locaux, quelle que soit leur appartenance politique, du moment qu'ils aient un esprit ouvert et novateur, disposé à investir dans la jeunesse et les sports.
  • Un tel projet, qu’il soit outdoor ou indoor, doit cependant être monté avec la communauté Parkour sur place. Sans concertation, il y a un risque que le projet soit « boudé » car inadapté, entrainant un lourd investissement à perte.
  • De même, un Parkour Park ne doit pas être un prétexte pour « parquer » les traceurs, comme c’est le cas pour p.ex. les skaters. L’une des bases du Parkour reste l’improvisation et la créativité face à des obstacles urbains non-destinés à la pratique au départ.

(Sid) L’escalade a eu la même évolution il y a 40 ans : il n'était pas naturel d'avoir des salles pour les pratiquants et cela a provoqué de nombreux débats. Aujourd'hui, l'escalade est rentrée dans les programmes scolaires, et les élèves s'exercent même en falaises. Si nous voulons faire rentrer le Parkour dans les mœurs, les salles seraient un moyen. Il y aura toujours des puristes, comme dans toute pratique, mais aussi différentes visions et il y a de la place pour tous les choix de pratique.

Ce sont ces belles paroles qui concluent la table-ronde.


:: SAM 14H Le Parkour au Féminin ::

Animateurs : Claire Buat et Pink Parkour
Associations présentes : ADD Académie Evry, Pink Parkour, Parkour Paris, Parkour 59, Association Grenobloise de Parkour, Reims Parkour School, Parkour LH, LAPPSET France, et quelques indépendants

Propos recueillis :

  • En 2016, il y a 14 % de femmes dans la FPK
  • La légitimité des cours féminins est toujours d'actualité, malgré leur développement.
  • Parmi les 15 femmes présentes, 3 sont coachs en associations. D’autres sont sollicitées quelques fois pour donner un coup de main (p.ex. lors d’initiations).
  • Pink Parkour, association composée exclusivement de femmes, comprend 35 adhérentes, dont 5 traceuses de longues dates. L’asso s’est exprimée sur les raisons de sa création et ce qu’elles en retirent aujourd’hui (plein de joie !).
  • A l’AGP (Grenoble), l’ouverture d’un créneau spécial filles a fait passer le nombre de pratiquantes de 7 adhérentes à 40.
  • Un groupe spécial fille existe chez Parkour 59. Toutes peuvent compléter leur entraînement en rejoignant des groupes mixtes.
  • Certains estiment que « Les filles ont peur du physique et ne progressent pas autant qu’elles le voudraient. » Cette affirmation est considérée comme un préjugé par toutes les personnes présentes.
  • Ils sembleraient que les femmes aient besoin d’un suivi psychologique plus important que les hommes. Accompagnement, parades, besoin d’être rassurée.
  • Edwin (cirque Fratellini) : physiologiquement, avec du travail, « les femmes ont une force égale à celle des hommes, sont moins dynamique mais plus souple. »
  • Reims Parkour School : on en attend toujours plus d’un homme que d’une femme. Chez nous, certaines s’entraînent « à la dure », et d’autres « utilisent des jokers sur certains exercices physique ».
  • Lors du Workshop Parkour Paris (réputé difficile), les filles pratiquent autant que les hommes : « Les coachs PKP ne s’attardent pas pour voir si des solutions plus facile existent. Il faut le faire, on essaie et ont réussit ! »
  • Il faudrait plus de visibilité pour le Parkour féminin (vidéo, coach…)
  • Avoir un coach femme motiverait les femmes à se lancer dans l’aventure.
  • Le terme « filles » serait dévalorisant. Utiliser ‘traceuses’ ou ‘femmes’.
  • Aurélien : « l’image féminine est plus longue à mettre en place mais plus vraie. »
  • Sidney : « Il est possible de rester féminine tout en faisant du Parkour ».

Commentaire d’une participante : Globalement, on a ressenti plutôt une bienveillance parmi les participants, la nécessité de soulever des questions qui sont toujours essentielles pour la pratique, une bonne écoute, des points de vue variés et contrastés, peu d'animosité, mais la nécessité de justifier, néanmoins, la position de chacun(e). Le sujet est bien sûr loin d'être épuisé ! On recommence quand vous voulez !

Pour aller plus loin :


:: SAM 15H Evolution du Parkour ::

Animateur : Sidney Grosprêtre, président de la FPK et Thibaut Dourlen, délégué départemental à UFOLEP Nord
Présents : 9 personnes (responsables inclus), dont des athlètes professionnels du Parkour.

Lors de cette table ronde, la problématique majeure a résidé dans l’expansion massive du nombre de pratiquants, qui est attribuée par une partie de l’audience aux actions des organismes comme la fédération de Parkour ou l’UFOLEP.

Ce développement aurait plusieurs limites, notamment dans la capacité à gérer cette masse de pratiquants. Par exemple, dans certaines associations où le nombre d’adhérent croit plus vite que le nombre d’encadrant, il est parfois confié à de jeunes pratiquants la responsabilité des séances. La légitimité et les compétences de ces encadrants sont alors soulevées. Sidney G. et Thibaut D. répondent alors que les institutions travaillent justement à la formation de ces jeunes encadrants, qui n’auraient pas ces compétences acquises via l’ancienneté de pratique.

Ensuite, une interrogation soulevée lors de cette table ronde a concerné l’avenir non pas du Parkour mais de ses pratiquants. En effet, le manque de données concernant l’impact de la pratique à long terme au niveau physiologique et articulaire questionne le développement massif du nombre de pratiquant. Quelques personnes de l’assemblée ont émis la limite de développer la discipline en l’absence de connaissance à ce niveau-là. Sidney G. intervient pour préciser que des recherches sont en cours pour connaitre cet impact, car malgré l’apparente jeunesse de l’activité, certains pratiquants cumulent 10 à 15 ans de pratique. Ensuite, Thibaut D. précise que l’impact d’une telle activité reste proche de celui de nombreuses autres activités sur lesquelles nous avons des données.

C’est l’action des organismes fédérateurs de communiquer au maximum pour la prévention des traumatismes à long terme de la pratique. Sidney G. précise que le Parkour voit son nombre de pratiquant croître depuis longtemps et que la FPK n’est pas la cause de cela mais plutôt une conséquence. Sidney G. ajoute que les vidéos qui font des milliers de vues sur la toile, dont les participants à cette table ronde sont par ailleurs producteurs, concourent grandement à cette expansion du nombre de pratiquants. Le problème réside du coup dans le fait qu’aucun message pédagogique n’est diffusé dans ces vidéos, et c’est là qu’intervient une institution comme la FPK.

 

:: SAM 16H Parkour et préparation physique ::

Animation : Aurélien B., Yann

Résumé :
L'idée de cette table ronde était de casser quelques idées reçues. Nous sommes partis d'un constat : l'entraînement physique d'un traceur est très déséquilibrée par méconnaissance du fonctionnement du corps. A partir de grandes questions et en demandant aux gens de se positionner nous avons cherché à donner des réponses à des idées reçues vraies ou erronées.

Thèmes abordés :

  • Savoir déterminer un objectif pour chercher les moyens de le travailler
  • Différence entre endurance (volume d'entrainement) et force (travail nerveux)
  • Souplesse, quand et comment l'intégrer à son entraînement
  • Courbatures : sont-elles normales ?
  • Importance de prendre du repos

 

:: SAM 17H Parkour et prévention des blessures ::

Animation : Aurélien B., Valentin D.

Résumé : 
Chaises sur le coté, espace libre au milieu et position de squat complet pour tous. L'inconfort causé par cette position à la majorité des participants nous a permis de mettre en avant le déficit de mobilité d'une bonne partie d'entre eux. Afin de rester... mobiles, l'ensemble de la table ronde s'est déroulée soit debout, soit assis par terre en squat (ou autre position plus confortable) Après un rapide descriptifs des principaux traumatismes rencontrés en Parkour (fractures, entorses, tendinites), nous avons cherché à sensibiliser les participants à l'importance :

  • de savoir aligner son corps et contrôler sa mobilité et la travailler si nécessaire pour comprendre dans quels axes notre corps est fort et dans quel mesure il est faible.
  • d'avoir une marge de manœuvre pour sortir de ces alignements sans se blesser.

En partant des chevilles et en remontant (genoux, dos, épaules), nous avons cherché à faire comprendre le principe de compensation : si la mobilité est limitée à un endroit, les répercussions seront sensibles à un autre endroit. Nous avons passé pas mal de temps sur le squat, et l'importance de l'amplitude sur une réception : grâce à un mouvement ample, nous pouvons exploiter au maximum les capacités élastiques et contractiles de nos muscles pour contrôler un amorti sans le subir, sans s'écraser sur les talons, ni bloquer le mouvement trop tôt La question a beaucoup fait réagir, aussi bien les jeunes trop peu toniques qui subissent leurs réceptions que les plus anciens qui s'attachent encore trop à des règles telle que "stopper une réception à 90°".

Après la table ronde, une dizaine de participants ont demandé des conseils sur des problèmes qu'ils avaient pu rencontrer dans leur pratique et sur les stratégies à adopter pour éviter que cela ne revienne

 


:: DIM 12H Parkour et Emploi ::

Animation : Loïc A., Ecole de Parkour.
Participants : coachs sportifs ou futurs coachs, artistes ou personnes du spectacle, personnes en charge d'un projet ou désirant l'être, associations désireuses d'employer du personnel, personnes pour et contre la professionnalisation du Parkour.

Propos recueillis lors de la table ronde (les témoignages ci-dessous n’ont aucune valeur légale et ne sont pas représentatifs de l'avis de la FPK)

  • Personne dans la salle n'est contre le fait de professionnaliser la Parkour, à condition que les valeurs soient conservées.
  • Pour certains, leur investissement bénévole ne doit pas devenir une contrainte trop pesante (l’un a passé des dizaines d'heures à concevoir et monter des structures, l’autre a beaucoup entraîné bénévolement, et négligé son entraînement personnel). Si ces personnes ne peuvent pas être employées par la suite, elles ne pourront pas continuer par manque de motivation, de temps ou d'argent et leur expertise sera perdue.
  • Le côté professionnel dans le Parkour est souvent diabolisé en France, à tort selon Aurélien. Il faudrait que cet emploi soit rentable à la fois pour les employés, pour la structure qui emploie, et pour le Parkour.

JB : Quid de la cohabitation entre milieux professionnels et associatifs ?

  • A Lyon, tous les encadrants ont passé un BPJEPS à l'issue duquel ils devaient gagner leur vie grâce au sport, si possible grâce au Parkour. Ils ont donc du quitter l'association, qui s’est trouvée dépeuplée. Il ne reste plus ou moins que l'école de Parkour à Lyon. Pas de concurrence de ce côté donc.
  • A Grenoble avec Aurélien et Nicolas, les encadrants professionnels se retrouvent en cohabitation avec l'association locale (à but non lucratif). Il n’y a pas de conflits pour l'instant car le public est différent (MJC, dojos...). Il y a moins d'adhérents et un suivi plus personnalisé. Des événements sont organisés, comme des courses d'orientation ou des chasses au trésor avec des contraintes de type Parkour. Il devrait être possible de ne pas se marcher sur les pieds (tout comme les innombrables salles de fitness qui cohabitent dans une même ville). C'est toutefois un travail long et indispensable à effectuer en amont. L'objectif reste d'être au service du Parkour plutôt que d'alimenter les querelles, et de garder un contact constructif (pour éviter les entraînements sur les mêmes spots par exemple).

Anthony : qu’en est-il du travail avec les grandes marques et de la collaboration avec les professionnels ?

  • La commission professionnalisation travaille sur un label FPK pour identifier les structures de confiance. Anthony a un certain projet, mais a des difficultés à le mettre en place. Une aide à la fois financière et technique serait appréciable, voire une collaboration ou un peu de promotion. En rebondissant sur le fait que certains projets ne plairont pas à tout le monde, Loïc insiste sur le fait qu'un des objectifs de la commission est que différents points de vue puissent être discutés sans préjugés.
  • La FPK soutient les associations, y compris celles qui souhaitent embaucher. La commission professionnalisation peut conseiller, orienter les anciens membres d’association voulant se professionnaliser. Mais le soutien financier ou publicitaire n’est pas prévu puisqu’on sort du cadre associatif.

Mon association augmente son activité : que faire ?

Sacha : en France, la réglementation est peu contraignante envers les associations. Mais cette réalité est tout autre dès qu'on veut se professionnaliser. Formations longues et couteuses, fiscalité lourde, millefeuille administratif, … autant de freins pour décourager des pratiquants qui voudraient bien faire et se retrouvent à être borderline sans même le savoir. Une des solutions est alors de devenir association employeuse. Plusieurs formules existent à choisir en fonction des ses besoins, de ses moyens ... et de son éthique :

  • Louer les services d’un coach freelance : Il s’agit alors d’un contrat de mission avec des tarifs négociés et une facture. Attention, il faut que ce soit dans le cadre d’une surcharge de travail ponctuelle. Si le prestataire intervient sur des trainings réguliers, le juge peut requalifier sa mission en salariat déguisé.
  • Louer un intermittent du spectacle : un cachet minimum coûte environ 300€ à l'employeur, pour environ 80€ touchés par l'artiste.
  • Embaucher en CDI ou CDD : Cher. Un temps plein au smic coûte 2800€ par mois à l'employeur, sur environ 1100€ touchés par l’employé. Le groupement d’employeur peut être une piste pour diviser les coûts entre plusieurs structures.
  • Contrat aidé associatif (CUI-CAE) : Réservé aux personnes en réinsertion (RSA, etc) : Convention tripartite entre l'association, le pôle emploi et l'employé. L'état aide à hauteur de 70% pour un mi-temps au SMIC (+/-250€ restent à la charge de l’association) : en contrepartie, l'association s'engage à former son employé. Six mois, renouvelable pendant deux ans.
  • Service civique : Réservé aux 16-25 ans (30ans pour handicapés), pour 6 à 12 mois. L'association choisit rarement son employé. L'état paie l'intégralité de l'indemnité, soit environ 465€. L’association peut verser un complément. 17-24h par mois. Un service civique ne peut pas intervenir dans l’activité principale de l’association (il ne peut par exemple pas encadrer un training en autonome).
  • Contrats en alternance (non abordés au cours de la réunion) : Alternance de périodes de formation et de périodes de stages professionnels. Aides possibles de l'état.
  • Contrats de stage: Etudiants, rémunération obligatoire dès 3 mois de stage (env. 510€/mois). Attention, l’encadrement de l’activité Parkour n’est pas forcément reconnue par les centres de formation.
  • Aides de la ville : certaines villes proposent des aides à l’embauche. Se renseigner auprès du Service des sports au moins 3 mois à l'avance (procédures administratives longues).

Quel que soit le modèle sélectionné, vous ne pouvez pas employer quelqu'un moins de 20h/mois. Il est aussi interdit d'embaucher un entraîneur non diplômé. Si vous réfléchissez à devenir association employeuse, il est recommandé de se faire conseiller par la Maison des Association au démarrage, qui peut vous orienter vers un "tiers de confiance" pour rédiger les fiches de salaire (CRIB). Certaines associations de la FPK, par exemple Parkour59 et PKStras, sont associations employeuses et peuvent témoigner de leur expérience.

Droit des marques « Parkour, Art du Déplacement et Freerun »

Loïc rappelle que les termes Parkour, Freerunning et Art du déplacement sont des marques déposées. Il faut prendre contact avec les intéressés (les fondateurs) si on veut les employer, surtout si on souhaite les utiliser à but lucratif.

Autres points soulevés pendant la table ronde :

  • Concevoir/construire des structures est long et cher. Comment faire quelque chose à la fois rentable pour la personne qui les fabrique et abordable pour les associations qui les achètent ?
  • Un participant déplore que, bien qu’un diplôme soit une obligation légale pour encadrer contre rémunération, il ne garanti en rien la compétence du coach ni sa connaissance de la pratique. Certains encadrants formés sur le tas « à l’ancienne » valent largement un coach professionnel.
  • L’objectif de la commission pro est de conseiller / soutenir les membres souhaitant se professionnaliser et soutenir les associations souhaitant employer ou embaucher des prestataires. Mais toujours sans créer de concurrence déloyale.
  • Le spectacle et l'intermittence n’ont pas été abordés, la conversation se poursuit dans le couloir.

 

:: DIM 13H Parkour et Handicap ::

Témoignages : Ofeld (PK59) et Ihab Yassin (Allemagne)

1er témoignage : Ofeld, sensibilisé au handicap suite à la tétraplégie de son père, en a fait son métier. Il nous a raconté comment il a développé le projet d'utiliser des exercices tirés du Parkour avec des personnes en déficiences intellectuelles (ex: son premier essai était avec des personnes atteintes d'autismes... il y avait 4 accompagnateurs pour 4 personnes, dont un ayant reçu une formation initiale, et un „Parkour“ adapté). Son but aujourd'hui : ouvrir et étendre le Parkour aux personnes ayant un handicap.

Parmi les questions posées :

  • Que faire en cas de crise ? Avoir une personne ayant une formation initiale pour pouvoir gérer ces crises.
  • Comment enseigner à des personnes ayant un handicap mental ? Être progressif dans le temps et réussir à s'adapter à chaque personne (comme chez les personnes "normales")

2eme témoignage : Ihab est une personne de petite taille. Il a découvert le Parkour à 14 ans sur internet. Il a voulu s'y essayer mais n'a pu débuter qu'a partir 16 ans suite à des soucis de santé. Malgré ses parents qui s'inquiétaient et leur influence, il a su trouver les bons arguments et, par persévérance, à réussi à s'imposer. A aujourd'hui 20 ans, il va d'évènement en évènement pour montrer que le Parkour est accessible à tout le monde. Il va aussi régulièrement à des rencontres de personnes de petites tailles pour leur montrer qu'elles aussi peuvent surmonter leur handicap et ne doivent pas s’arrêter à celui-ci.

Son message : "le handicap est un obstacle à passer et le traceur surmonte l'obstacle". Une belle leçon de vie qui a ému les participants.

Questions posées :

  • Combien de temps d'entrainement par semaine ? : Parfois tout les jours et parfois avec des temps de récupération. L'important étant de se faire plaisir.
  • Quelle réaction as-tu par rapport aux regards des passants face à ton handicap et face au Parkour ? : Les réactions des enfants sont différentes (rires/peurs/questionnement/aucunes réactions.) mais Ihab pense que c'est aux parents d'expliquer aux enfants la vérité. Il est passé, avec l'âge, d'une phase d'irritations, d’embêtement à une phase d'acceptation de la situation. Les adultes, eux, sont souvent impressionnés.

Des deux témoignage, une question commune est ressortie : Comment réagir à l'anxiété des parents face au Parkour ? : Il faut expliquer aux parents que le Parkour n'est pas de sauter le plus loin possible avec le plus de vide possible (vidéo "buzz"), mais de les rassurer sur la progressivité de l'apprentissage.

Témoignage d'une participante : « J’ai pu assister à la table ronde « Parkour et handicap » et j’ai trouvé que ces interventions étaient extrêmement formatives et intéressantes. Le fait de pouvoir se rassembler avec différentes personnes autour d’un sujet permet d’avoir des témoignages, des informations, de pouvoir en discuter et d’échanger. Ce qu’on ne ferait pas forcément dans la vie de tous les jours. A donc continuer !! Merci pour tout »

Témoignage d’Ihab : « J’ai beaucoup aimé partager mon expérience avec la salle. J’ai aimé que les traceurs de Strasbourg, qui me connaissent déjà, m’aient posé tant de questions. Et j’ai aussi apprécié les questions des autres. Je suis très impressionné par le travail d’Ofeld dans le milieu du handicap. »

 

:: DIM 14H Echange avec l’ADD ::

Animation : Sébastien (ADD Bordeaux)
Présents : env. 40 personnes issus des écoles ADD, des associations FPK et de Parkour One.

Témoignages des personnes présentes :
(les propos exprimés ici reflètent le ressenti personnel des personnes présentes. Elles ne doivent pas être considérées comme une prise de position officielle ni de la FPK, ni de l'ADD)

Aurélie (ADD) : Certains participants regrettent que David (Belle) ait laissé les traceurs se débrouiller seuls. Les entrainements ADD sont plus durs physiquement que le Parkour et ceux qui ont pu tester ne s’en doutaient pas. Même si au quotidien les pratiques divergent peu, tous se sont accordés qu’il y aurait plusieurs définitions de la discipline : ADD / Freerun / le Parkour de David Belle / le Parkour des pratiquants d’aujourd'hui (qui ressemble beaucoup à l’ADD). Les jeunes générations diffusent beaucoup leurs photos/vidéo via les réseaux sociaux, contrairement aux plus anciens qui « traçent pour eux ». Les membres ADD ont la chance d’avoir les fondateurs toujours très présents dans la pratique. Des valeurs de l’ADD ont été découvertes par des pratiquants de Parkour et conservées dans leurs entrainements personnels.

Témoignage : J’ai l’impression que le Parkour de David Belle avec son efficacité de déplacement d’un point A à un point B n existe plus vraiment sous sa forme originelle. La plupart des pratiquants ont appris seul, à partir de vidéos, entre eux et à mesure de leur rencontre. Tous y ont rajoutés du physique (dans une plus ou moins grande mesure) des valeurs de solidarité (entraide, respect, dépassement de soi ...) et des « grigris » dans leur pratique. Ils continuent à appeler leur pratique Parkour alors que ce que je vois ressemble beaucoup à de l’Art Du Déplacement issu des Yamakasi.

Aurélien (FPK) : L'objectif de cette table ronde était un échange entre les pratiquants "Parkour" et les cadre de l'ADD présents afin de discuter des valeurs respectives : celles portées par l'esprit Yamak et celles retrouvées, ou non, dans les associations de Parkour ou chez les pratiquants. L'ADD s'est positionnée sur l'aspect physique de la pratique et l'importance d'un socle solide avant de vouloir exploiter le mouvement. Socle qui semble être moins présent ailleurs. En réalité l'aspect physique a beaucoup évolué dans les assos en fonction de l'avancée et du perfectionnement des bénévoles/cadres/coach et de leurs connaissances sportives. Ex pris à Grenoble : nous faisions au début des sessions physiques « de guerrier », inabordables aux non-sportifs. Nous avons à présent assoupli ces sessions pour les rendre plus accessibles et progressives. Côté valeurs, l'ADD a souligné l'aspect communauté et soutien du groupe, notamment au travers du physique ou les plus forts accompagnent les plus faibles. Cela a fait réagir une pratiquante associative : "mais c'est pareil chez nous !". C'est là que je suis intervenu sur les définitions. L'an dernier avec Williams (Belle) j'avais déjà échangé à propos des valeurs et des noms respectifs des disciplines. Je lui avais exprimé que, en  l’absence de rôle actif des personnes qui en avaient fait la promotion (David Belle, Sébastien Foucan), les pratiquants s'étaient appropriés les termes « Parkour » et « freerunning » et les ont fait évoluer. A l'inverse, l'ADD a conservé ses fondateurs qui ont fait vivre et évoluer leurs idées via des écoles et des workshops. La communauté Parkour, orpheline et "sans " fondateurs s'est fait sa propre idée et s'est construite autour d'un mélange de valeurs reprenant aussi bien le côté "rigide" de la définition du Parkour que la souplesse du mouvement prôné par l'ADD, et en intégrant les valeurs comprises des deux côtés : entrainement pour soi, A>B du Parkour, l'esprit famille, ensemble, le soutien du groupe côté ADD, le respect des autres, de ses lieux d'entraînement, devenir meilleur par la pratique et en dehors de la pratique (DB / ADD / Ethique du traceur). Au final, l'impression que nous pratiquions des choses très différentes s'est estompée. Malgré des noms différents, les bases de pratique et les valeurs semblent assez proches. Serika a regretté que beaucoup de jeunes générations accordent plus d’importance au visuel qu’au dépassement personnel. Le défi a été lancé à certains dans la salle de ne rien filmer pendant un an.

Mon ressenti personnel : si j'utilise le terme Parkour c'est parce que c'est l'un des premiers sur lesquels je suis tombé en m’intéressant à la pratique, et que l'association que j'ai rejoint avait pris ce nom. Assez rapidement, nous avons compris que l'ADD était un nom porté par l'esprit et l'équipe Yamakasi et sans s'entraîner avec eux, ç'aurait été un manque de respect et une usurpation de s'intituler comme ça. David Belle et les gens autour de lui ont laissé le Parkour évoluer sans trop s'impliquer, permettant ainsi (peut-être sans le vouloir) une récupération du nom éloigné de ce qu'à été SON Parkour (à DB). L'absence de fondateurs dans les assos est peut-être une difficulté aujourd'hui dans certaines assos pour guider des jeunes générations qui voient dans le Parkour/ADD une liberté "sans limites" ... et sans valeurs. Les anciens de ces assos ne sont pas toujours reconnus par ces nouveaux/jeunes comme rôle modèle ce qui reste une force chez les Yamakasis.

Sébastien (ADD) : En ADD, on s'épuise à la préparation physique justement pour renforcer le corps face au danger que représente le pratique. C'est un cheminement physique qui devient psychologique. Je l'ai constaté avec moi-même et je le constate avec mes élèves qui font des sauts et se sentent prêt parce qu'ils sont fort physiquement et psychologiquement. La partie intégration est toute simple. Je ne grimpe pas partout « à la sauvage » parce que je sais que cela dérange et que ça ne fait pas avancer la pratique... Comme le prônent tous les fondateurs (Yamakasi et David ) la pratique doit aider et non l'inverse... c'est comme un art martial. J’aime beaucoup l’interview de David dans lequel il raconte comment il avait dépanné un habitant ayant perdu ses clefs en lui ouvrant son appartement de l’intérieur en passant par le balcon... c'est une vision simple et saine de la pratique..

Aurélien (FPK) : Merci pour la table ronde. J'avais 6 jeunes de l'asso présents dans la salle. Ca leur a permis de mettre en perspective ce qu'on dit chez nous. Et le discours étant a peu près le même, ça les a fait réfléchir très positivement sur leur place dans le groupe, leur rôle et la force positive qu'ils peuvent être pour les autres et pour la pratique J

Sacha (FPK) : Cette table ronde a été un moment de partage chaleureux et nécessaire depuis longtemps. J’en suis sorti avec une sensation d’apaisement et l’envie de continuer les échanges entre ADD et FPK. Je remercie beaucoup Sébastien et l'équipe ADD d'avoir proposé cette discussion.

 


 

ILS PARLENT DU WEEK END FPK 2016


 

LE MOT DE LA FIN

Sidney Grosprêtre, président de la Fédération de Parkour

Sidney GrospretreLorsque Larbi, le président de Parkour59, m'a annoncé que son association souhaitait postuler pour accueillir le weekend FPK, ce fut une grande joie doublée d'une certaine impatience que je me suis mis à attendre cet évènement. Et je n'ai pas été déçu ! Chaque année, on se demande comment l'évènement pourrait être encore plus grand et plus intense, et chaque année les associations se surpassent. Parkour59 n'a pas dérogé à la règle, en proposant un événement haut en couleur dans la capitale du cyclisme, Roubaix, dans l'emblématique vélodrome. Parmi les nouveautés et les très bonnes idées à retenir, l'accueil du grand public, l'échauffement collectif, les tables rondes ou encore les work-shops furent autant de moments forts qui ont fait de ce weekend FPK 2016 un continuel bouquet final de feux d'artifice. Alors je tire mon chapeau aux ch'timi qui ont su relever le défi et accueillir plus de 700 traceurs dans le ch'nord !

 

Larbi Liferki, président de Parkour 59

Larbi LiferkiNous sommes heureux d'avoir pu organiser cet événement. Nous remercions infiniment la FPK de nous avoir fait confiance et nous n'oublierons jamais le soutien particulier  de Sidney GROSPRETRE et Sacha LEMAIRE. (Président et vice président de la FPK) C'était une aubaine pour l'association d'accueillir cet événement dans le nord. Il était important pour nous d'inscrire Parkour59 dans le paysage associatif régional mais également d'appuyer la reconnaissance de notre discipline. Les participants ont profité pleinement de ce week-end et ont été très respectueux de la ville, du STAB Vélodrome et des équipements municipaux qui accueille la course mythique du PARIS- ROUBAIX.

Nous avons voulu rendre ce rendez-vous différent des précédentes éditions en y incluant tables rondes, animations, workshop, initiations ainsi qu'un espace ludique avec gigantesque structures gonflables pour les familles. Il était également clair que nous voulions intégrer le freerun en y ajoutant une piste gonflable (tumbling), des tapis de réception, des trampolines ainsi qu'un espace tricks. Par dessus tout, ce dont nous sommes le plus fiers, est d'avoir réussi le pari de rassembler les grands courants de la discipline ( Parkour / Art du déplacement / freerun).

Nous avons eu de très bons retours des participants, partenaires ainsi que des institutions. Je ne manque pas de remercier tous les bénévoles de Parkour59 qui ont donné beaucoup de leur temps pour rendre ce WEEKEND FPK tout simplement génial. Nous remercions aussi la ville de Roubaix et de Lille, ainsi que le conseil régional et le conseil départemental pour leur soutien infaillible et nous espérons avoir l'occasion d'organiser d'autres événements à la hauteur de ce premier week-end FPK roubaisien et lillois. D'ici là, on se donne rendez-vous à Strasbourg en avril 2017 pour de nouvelles aventures...

 

Le prochain Week-End FPK aura lieu Printemps 2017 à Strasbourg et sera organisé par PK Stras

Mise à jour le Dimanche, 10 Juillet 2016 13:03
 
Women In Motion à Grenoble
Écrit par Fédération de Parkour   
Mardi, 28 Juin 2016 08:55

WOMEN IN MOTION

grande réussite pour le rassemblement féminin 2016 !

 

 

Ce week end pour l'AGP - Parkour Grenoble - c'était rassemblement féminin avec le Women In Motion 2016!

Un grand merci à la quarantaine de traceuses présentes! Un édition particulièrement réussie, bravo à l'équipe grenobloise d'organisation. Un bilan plus complet et des photos sont à venir !

 

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Mise à jour le Mardi, 28 Juin 2016 09:02
 
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